enteteqcligne.png

L’indépendance du Québec

Ensemble nous allons faire du Québec un pays! Et ce jour-là, nous serons tous des citoyens de première génération!

Faire du Québec un pays

 
MCn.png

Pour être maîtres chez nous

Nous voulons faire du Québec un pays parce que pour une nation, se gouverner elle-même, pour elle-même et selon ses propres fins, ses propres valeurs, sa propre culture et ses propres lois, tant à l’interne qu’à l’externe, est essentiel pour atteindre son plein épanouissement. C’est en gérant nous-mêmes nos impôts, notre politique internationale et nos lois que nous pourrons atteindre notre plein développement autant politique, économique, environnemental que culturel.

LangueCulture.png

Pour protéger et valoriser notre langue et notre culture

Le Québec est un État francophone démocratique, pluraliste et laïque, mais il doit constamment lutter pour préserver sa culture, sa langue, ses valeurs, son identité et son caractère distinct. Faire l’indépendance du Québec nous permettrait de mettre de l’avant notre culture de la valoriser et de la faire rayonner à l’international, tout en mettant en place des mesures concrètes afin de protéger la langue française.

environnement.png

Pour lutter contre le réchauffement climatique

Choisir l’indépendance, c’est avoir la possibilité d’être un pays modèle en favorisant une transition vers une économie sans pétrole plus respectueuse de l’environnement, en misant sur les énergies vertes et renouvelables. Alors qu’au Québec, un large consensus exige que l’on intervienne davantage en matière d’environnement, le Canada continue de financer l’industrie pétrolière et limiter les pouvoirs du Québec en matière d’environnement.

8raisons.png
GIFRAISONSOK.gif

Les mythes concernant l’indépendance du Québec

MYTHE1.png
fauxbutton.png

Alors que nos impôts servent en partie à financer la création d’emplois dans les autres provinces du Canada, L’Île-du-Prince-Édouard (2501 $), le Nouveau-Brunswick (2205 $), la Nouvelle-Écosse (1715 $) et le Manitoba (1415 $) reçoivent plus de péréquation per capita que le Québec (1158 $). Une grande part de la péréquation est payée par les impôts des Québécois versés à Ottawa. Un Québec indépendant ne paierait plus pour les dédoublements administratifs. Même en renonçant à sa péréquation, il serait plus riche. Par ses choix de développement économique, Ottawa avantage certaines provinces, au détriment des autres. Ainsi, notre 50 milliards $ versé annuellement à Ottawa contribue au soutien de l’économie des autres provinces.

fauxbutton.png

Concernant l’endettement public, le Québec fait très bonne figure au niveau international. Même en ajoutant la part de la dette d’Ottawa qui incombe au Québec, le Québec a une dette nette moins élevée que le Japon, l’Italie, les États-Unis, la France, la Zone Euro, le Royaume-Uni, l’Allemagne et les Pays-Bas ! Les pays les moins endettés sont les pays scandinaves : Danemark, Suède, Finlande et Norvège. Pourtant, la part des services publics dans l’économie y est la plus élevée au monde ! La dette du Québec est essentiellement détenue par le gouvernement et la population du Québec (85 %). Donc, le Québec se prête et se rembourse à lui-même ; pour chaque dollar payé en intérêt, 85¢ restent au Québec.

MYTHE2.png
Mythe3.png
fauxbutton.png

La charge fiscale nette des familles québécoises est plus faible que celle des pays du G7. C’est notamment le cas pour les couples avec enfants : -2,4 %, et surtout pour les familles monoparentales : -31,6 %. La fiscalité québécoise est aussi particulièrement avantageuse pour les entreprises. C’est ce que montrent les divers classements internationaux (KPMG, Pricewaterhouse Coopers, Banque mondiale, etc.) bon an mal an. Ces classements prennent en compte les coûts de démarrage et d’exploitation des petites, moyennes et grandes entreprises.

Statistiques tirées du site web de Monique Pauzé, députée de Repentigny (données les plus récentes | 2018)

 

« L’indépendance du Québec est notre seule voie d’avenir. Le Québec sera indépendant ou il ne sera plus. »

— Mario Beaulieu, député de La Pointe-de-l’Île