Langue française

Le statut du français comme seule langue commune et officielle au Québec est la condition première pour assurer son avenir et son épanouissement, au sein du seul État francophone en Amérique du Nord.

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Porte-parole du Bloc Québécois en matière de langues officielles, militant indépendantiste à temps plein depuis 30 ans, Mario Beaulieu a, dans le passé, déposé le projet de loi C-421 pour faire de la connaissance suffisante du français une condition pour l’obtention de la citoyenneté au Québec, ce qui avait semé la controverse chez les partis fédéralistes. Depuis toujours, Mario est un fervent défenseur de la langue française.

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Le modèle québécois de l’aménagement linguistique, défini par la Charte de la langue française, dite « Loi 101 », se fonde sur les droits collectifs territoriaux, en établissant le français comme langue officielle et commune au Québec.

Ce type d’approche est reconnu comme étant efficace pour assurer l’avenir et l’épanouissement d’une langue minoritaire.

Le modèle canadien, défini par la Loi sur les langues officielles, a été établi à partir de principes fondamentalement différents, soit une politique de bilinguisme des institutions fédérales en fonction de droits individuels linguistiques variables (là où le nombre le justifie) partout sur le territoire canadien.

L’étude des modes d’aménagement linguistique à travers le monde démontre que ce type d’approche ne permet pas de contrer l’assimilation des langues minoritaires.

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La situation du français au Canada confirme que les politiques axées sur le bilinguisme officiel et les droits individuels favorisent une assimilation extensive des francophones.

Depuis 1971, les données de Statistique Canada nous ont révélé que l’assimilation des francophones ne cesse d’augmenter dans les provinces et les territoires où ils sont largement minoritaires. Et dans la plupart des régions, plus ils sont minoritaires, plus l’assimilation est rapide et croissante.

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Les progrès favorisés initialement par la Charte de la langue française se sont graduellement amenuisés à mesure qu’elle a été affaiblie dans tous ses secteurs d’application.

Le français est encore loin d’être la langue publique commune dans l’espace public et dans les milieux de travail au Québec. L’analyse rigoureuse de l’ensemble des recherches des dernières années sur la situation linguistique du Québec en général, et de la région métropolitaine en particulier, montre que le pouvoir d’attraction de l’anglais supplante encore largement celui du français chez les Québécois allophones.